Il est à Tours pour rendre visite à son frère Charles Henry Delacroix.
Petite anecdote : il loue un appartement dans un hôtel particulier qui donnait rue Neuve (rue Nationale)...à l’emplacement de l’actuelle Mairie de Tours.
Il dessine et prend des notes sur l’un de ses cinqante-cinq carnets «livre de croquis, albums de voyage et carnets de poche»
Sur les 36 feuillets en papier vélin de son «Carnet de Tours», une cinquantaine de dessins et d’esquisses réalisés à la mine de plomb.
Folio 2 recto Toits de Tours et la tour Charlemagne Ces maisons à pans de bois existent toujours dans «Le vieux Tours» |
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Folio 9 recto Coteaux en bord de Loire |
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Folio 18 recto Fenêtre d’entrée de l'Hôtel dit «hôtel de Tristan» |
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Folio 21 recto Les tours de la cathédrale Saint-Gatien à Tours |
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Folio 35 recto Etude d’une tribune |
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Ses promenades le mènent au centre de Tours mais aussi à Saint-Avertin, Plessis-les-Tours.
A deux ans prêts, il aurait pu rencontrer Turner qui était à Tours en 1826
L’une de ses peintures «Comédiens ou bouffons arabes» est installée au Musée des Beaux Arts de Tours.