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L’homme est l'élément central de sa peinture.
Il est le peintre des figures hurlantes, de l'humanité violente et angoissée, du dramatique quotidien.
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Il est influencé par les travaux des surréalistes, par ceux de Picasso qu’il découvre à Paris en 1926. Sa vision du monde procède d’une sorte de glissement optique, de pulsions irrépressibles. Les corps sont parcourus de spasmes. Quelques jets d’eau, quelques singes quelques chiens traversent son œuvre. Il se peint et peint ses proches : Lucien Freud, George Deyer, Isabel Rawthorne, Henrietta Moraes, Michel Leiris et lui-même dans une suite d’auto portraits.
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Il revisite Velázquez, Van Gogh...C’est la figure humaine qui le fascine
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Sa peinture met en exergue la vulnérabilité de l’être humain qui est au centre de son travail.
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La violence de ses toiles n’est pas une violence réelle, elle est purement picturale. Son origine comme son but est la peinture.
Sa peinture met en exergue la vulnérabilité de l’être humain qui est au centre de son travail.
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«J’espère être capable de faire des figures surgissant de leur propre chair avec leurs chapeaux melons et leurs parapluies, et d’en faire des figures aussi poignantes qu’une crucifixion.»